. Corps célestes C’ est qu’ en amour comme dans
. Corps célestes
C’ est qu’ en amour comme dans la vie, on en attend toujours plus, on est jamais comblé. Le contentement, qu’ à certains moments précis que la mémoire sans doute amplifie et qui dans mes souvenirs, ont toujours eu lieu dans l’ obscurité. Les jours, passent et je m’ enfonce peu à peu dans ce désir d’ infini, cette soif inassouvie d’ absolu où rien ne peut suffire.
Si ça tenait qu’ à moi j’ aurais passé des journée à faire l’ amour, juste parce que c’ est là que les choses atteignent leur limite et même si cela ne dure que trois secondes, je fuis , je sors de moi-même, je me gonfle de lumière et je m’ éclaircis, heureuse, sans mémoire, accrochée à des lèvres qui inventent de superbes duperies. Je me dis alors que tout ça a un sens de continuer malgré la certitude d’ être toujours seule
là où commence le désir, à l’ endroit de la peur, là où rien n’ a de nom, et rien n’est
Mais paraît